Porter le hakama c'est un investissement entier de la part de celui qui le porte, c'est aussi chercher constament sa voie dans l'Aikido mais aussi dans la vie quotidienne.
Quand j'ai reçue de la part de mon professeur l'autorisation de le porter, je m'en souviendrai toujours. C'est une forme de reconnaissance, de confiance et cela nous pousse à évoluer encore et encore et constament pour ne pas decevoir son prof mais aussi les autres et sois-même. Je pense que c'est l'une des étapes importantes pour le pratiquant, avant même de parler de grades.
Car celui qui porte le hakama est une référence pour les nouveaux arrivant dans un club. Il doit guider, du mieux qu'il peut, les débutants , les encourager! C'est un modèle également par rapport à l'attidude qu'il adopte dans le dojo, je parle de choses simples comme la manière de se tenir en seïsa, la façon de se relever, de se déplacer...
On est confronté , surtout durant les premiers temps du port du hakama, à quelques petits désagréments occasionné par celui-ci. On se prend souvant les pieds dedans, on arrive pas à le mettre correctement et donc il tombe et on doit tout le temps se réhabiller.J'ai mis plus d'une année pour apprendre à le nouer de façon correcte et encore il m'arrive de mal le positionner.
Je me rapelle les premières fois que je l'ai noué, je l'ai tellement serré de peur qu'il ne tienne pas, que je ne pouvais plus respirer correctement et j'en ai même eut des bleus...
Voici les quelques petites mésaventures que j'ai rencontré et que vous allez également rencontrer. C'est tout un apprentissage!
La suite au prochaine numéro! car tjs par le temps de finir